Roman – Une deuxième veine
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Roman – UNE DEUXIEME VEINE
Un mélange de fantastique mêlé à des messages de développement personnel.
Résumé :
Et si l’Enfer était symbole de renouveau ?
Après une vie « ratée », Ferraya est propulsée dans le monde des ténèbres qu’elle ne connait pas.
Pour reprendre son avenir en main, elle entreprend d’aider Allan, son nouvel ami amnésique.
En avançant dans cette mission qu’elle s’est donné, elle se rend compte que l’Enfer est menacé.
Ferraya est-elle de taille à rétablir l’équilibre et à sauver Allan dans le même temps ? Entre
alliance, magie et intuition, elle va devoir affronter l’inconnu.
Ensemble, arriveront-ils à sauver l’Enfer ?
Livre relié de 330 pages aux dimensions : 15 cm x 21 cm
Auteure : Sandrine Corre. Éditions Présence.
Description
- Envoi dans un étui de protection
- Expédition dans les 24h suivant la commande
- Réception entre 2 et 4 jours ouvrés (en période normale…)
J’ai dévoré ce livre… Les personnages sont attachants, l’intrigue rondement menée, un rythme soutenu qui ne laisse pas le lecteur s’ennuyer. C’est drôle, émouvant, j’ai adoré!
J’espère que vous ne tarderez pas à sortir la suite, je l’attends avec impatience 😉
Bises
Infernalement délirant, déroutant !
Sandrine Corre aime les mots, elle joue avec les mots, danse avec les phrases et nous livre sans tabou sa relation passionnée à l’écriture.
Pour une lecture aisée, excellente division en chapitres qui aère opportunément ce roman à couper le souffle.
Dans les méandres d’une psychologie ultra-sociale voire sociétale et diaboliquement exquise, l’auteure nous guide sur les chemins tortueux de ses personnages en proie à des questionnements étonnants, à tout le moins inhabituels.
Structurer l’invraisemblable et le rendre crédible dans une réalité qui nous dépasse : un coup de maître de Sandrine Corre, le tout dans une alternance subtile des niveaux de langue (soutenu, familier).
Une bonne connaissance de l’humain mais aussi, chapeau bas Madame, du comportement canin.
Beau travail enfin sur la conscience, ce rapport de soi au monde extérieur, plus rarement de soi à soi-même. Sandrine Corre l’a bien compris, nous gratifiant d’une apparition occasionnelle de reflets interposés de ses personnages. J’adore le « fashion reflet ».
Mes considérations élogieuses s’arrêtent ici, souhaitant laisser « Une deuxième veine » à l’appréciation souveraine des lecteurs.
Parés pour une immersion dans le suspense ? Go ! A lire absolument !